Ne pas confondre Hackers et Pirates informatiques!

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Ne pas confondre Hackers et Pirates informatiques!

Postby HackAngel » Thu Mar 27, 2008 1:31 am

On ne le dira jamais assez...

[b:c60d443b66]Ne pas confondre Hackers et Pirates informatiques![/b:c60d443b66]

Les hackers représentent l'un des mouvements de résistance le plus important face à la logique commerciale qui se répand dans l'univers d'Internet et ce, tout particulièrement face aux stratégies d'appropriation des standards développées par les grands éditeurs de logiciels. Il existe deux grands types d'hackers : ceux qui ont décidé d'utiliser des armes légales pour combattre l'emprise des sociétés d'informatique et ceux qui n'hésitent pas à recourir à des actions illégales pour dénoncer et combattre la logique marchande qui se développe sur Internet.

La première catégorie d'hackers est directement issue du champ d'activités du monde de la recherche scientifique. Cependant, il est à noter qu'une partie des acteurs du monde universitaire ont décidé de se replier sur eux-mêmes, en lançant le développement d'un Internet 2 que le grand public ne peut consulter. En effet, ces chercheurs se soucient avant tout de trouver un espace de communication rapide et non de concrétiser une quelconque utopie technologique. Pour eux, le progrès que représente Internet, s'il signifie un espace de communication libre, associe cette liberté uniquement au progrès de la connaissance scientifique. D'ailleurs, une partie des ces chercheurs ont toujours regretté qu'Internet quitte les enceintes universitaires, considérant que le grand public ne pouvait que " polluer " le Web avec leurs sites et leurs communications qui n'obéissent pas souvent à une volonté du progrès d'un savoir scientifique objectif.

Mais qui sont ces hackers qui eux ont décidé de poursuivre la lutte ? " hacker " en anglais signifie " bidouilleur " ou " bricoleur ". En effet, les hackers sont tous des programmeurs de haut niveau qui aiment relever des défis et résoudre des problèmes qui semblent insolubles à première vue, ils développent d'ailleurs cette attitude dans toute leur existence. Leur but est de construire des choses afin de faire évoluer le monde de l'informatique. Pour de nombreux hackers, il s'agit d'une attitude que l'on peut retrouver hors de l'univers de la programmation. Un musicien passionné par son art et qui recherche sans cesse à repousser les limites de sa musique peut être lui aussi être considéré comme un hacker.

Les hackers défendent deux valeurs qui sont la liberté et l'entraide volontaire. La signification qu'ils donnent à la liberté est celle de l'anti-autoritarisme. En effet, ils considèrent que l'autorité représente un empêchement à la réalisation efficace de problèmes et à la possibilité de communiquer librement avec les autres. A leurs yeux, l'autorité cherche toujours à imposer des censures et à s'approprier les nouvelles réalisations. Cependant, cela ne signifie pas que les hackers sont contre toute forme d'autorité. Ils reconnaissent la nécessité de celle-ci dans certains cas, comme par exemple, la poursuite d'actes criminels. Mais jamais, un hacker ne peut accepter une soumission totale à l'autorité qui deviendrait un frein à sa créativité.

L'entraide volontaire signifie que les hackers ne travaillent jamais seuls à la résolution d'un problème. Les hackers partagent toujours leurs informations, ils considèrent que l'évolution des choses ne peut que se baser sur une logique d'échanges et ce qui compte pour eux avant tout, c'est le progrès de la technologie et tout particulièrement de l'informatique.

Parfois certains hackers se présentent sous l'appellation de " nerds " (qui signifie " pauvre type " en jargon américain). Dans le monde de l'informatique, le nerd désigne un individu replié sur lui-même qui passe sa vie devant un ordinateur, il ne noue pas de véritables relations sociales et sa vie privée se réduit à néant. Pourtant, les hackers ne sont pas de véritables nerds, mais ils se proclament comme tels pour montrer leur indépendance par rapport aux attentes de la société " normale ".

Le mouvement est né en 1961 au MIT (Massachusetts Institut of Technology) lorsque l'Institut a acquis une machine nommée PDP-1. Un ensemble d'informaticiens ont inventé alors un ensemble d'outils de programmation pour cette machine ainsi qu'un jargon et toute une culture associée. C'est avec la naissance en 1969 de l'ancêtre d'Internet, Arpanet, que la culture hacker s'est véritablement développée. En effet, Arpanet a permis aux hackers de tout le pays de communiquer ensemble. La distance géographique ne représente alors plus un obstacle pour échanger des informations et partager des ressources, et ce contexte a permis à l'esprit d'entraide des hackers de s'épanouir véritablement. Internet porte donc directement leur empreinte : le réseau des réseaux, comme on le surnomme, a été influencé par leur esprit de liberté et leur refus de l'autoritarisme. C'est ainsi que, comme nous l'avons vu, le TCP/IP qui assure le transfert des données sur Internet et le langage HTML, qui permet la création de pages Web, sont dans le domaine public.

Dès lors, pour ces hackers, il devient fondamental de se battre aujourd'hui pour préserver la liberté des standards d'Internet, seul gage, selon eux, d'un processus de développement collectif de l'informatique. C'est ainsi qu'une lutte de résistance va s'engager entre les hackers et les éditeurs de logiciels. Or, pour les hackers, la seule possibilité de contrecarrer les ambitions des firmes informatiques, c'est de faire en sorte que le principe de liberté des standards dépasse le cadre d'Internet pour s'appliquer aussi dans le monde de la micro-informatique. En effet, Microsoft est parvenu à occuper une position dominante dans le champ de lutte d'Internet, en imposant la logique des standards propriétaires propres à la micro-informatique dans le monde des standards libres du Web. Dès lors, si on veut libérer le Web de la logique marchande, la contre stratégie consiste alors à faire en sorte que ce soit le principe des standards libres d'Internet qui colonise le monde de la micro-informatique et non l'inverse. Les hackers vont alors créer un système d'exploitation, Linux, entièrement libre qui va vite devenir une arme stratégique pour s'opposer aux logiciels commerciaux et propriétaires issus du monde des éditeurs de logiciels. De plus, ils vont développer un ensemble d'autres logiciels qui fonctionnent selon le principe de liberté des standards.

Toutefois, il ne faut pas confondre ces hackers avec un certain nombre de pirates informatiques qui se considèrent eux-aussi comme les héritiers de la culture du MIT. D'ailleurs, les premiers se sont insurgé plus d'une fois contre l'utilisation abusive du terme "hacker" pour désigner un pirate informatique. Pour eux, ces pirates sont en fait des crackers. E. S. Raymond, un hacker qui a écrit une série d'essais autour de cette culture et de la notion de logiciel libre, a écrit dans un document publié sur Internet "Comment devenir un hacker ?" : "La différence fondamentale est la suivante : les hackers construisent des choses, les crackers cassent les choses"..

Pourtant, les pirates hackers considèrent qu'ils sont issus de la même tradition que les premiers. La différence qui les distingue, c'est qu'ils défendent l'idée que c'est une guerre totale qu'il faut livrer au pouvoir économique et que non seulement il faut préserver la liberté des standards, mais il faut aussi tout tenter pour développer la notion de liberté de communication et de publication d'informations, entre autres en encourageant la piraterie informatique. En effet, Internet a été créé pour le partage libre des ressources, dès lors, il devient normal pour ces pirates, qu'ils soient possibles de copier librement, d'échanger des logiciels, des jeux, de la musique sans verser de quelconque droits d'auteurs. De plus, ils refusent que certains sites nécessitent des mots de passe qu'ils percoivent comme une violation de la raison même d'Internet. D'ailleurs, un certain nombre de pirates développent des " cracks ", c'est-à-dire des logiciels qui permettent de pénétrer tout de même dans ces sites.

Comme nous allons le voir, les deux mouvements de hackers partagent un point commun, tout deux remettent en question la notion de propriété, base du fonctionnement de l'économie capitaliste, au nom d'une conception de la connaissance comme le résultat d'un processus collectif, n'appartenant à personne.

Le Web forme une nébuleuse de sites qui traitent des sujets les plus divers et c'est ainsi que les sujets les plus anodins côtoient les thématiques plus sérieuses. Tous ces sites sont créés par des amateurs, grâce au Web, les utilisateurs sont à la fois des consommateurs mais aussi des émetteurs d'information. De plus, à côté de la création de sites, on discute beaucoup sur le Web, soit en direct sur les Chats, soit en différé dans les Forums de discussion. Certains même, grâce à des caméras posées sur les écrans de l'ordinateur, pratiquent quotidiennement la vidéoconférence avec d'autres internautes. Sur le Web, on communique, on publie et l'on consulte de l'information, on rêve, on se dispute aussi dans des discussions homériques parfois pour des sujets sans importance, parfois pour défendre son opinion sur un fait de société.

À côté de ce Web, que l'on nomme souvent le Web indépendant, qui se développe grâce à la contribution et à la communication de tous ces anonymes, il existe le Web commercial et celui des institutions. On n'y trouve des journaux en ligne, des sites de commerce électronique où l'on peut acheter du matériel informatique, des CDS, des livres,... mais aussi des supermarchés virtuels, des boutiques de vêtements,... Les grandes sociétés présentent leurs activités, et leur image de marque. Les grandes bibliothèques proposent de consulter leurs catalogues en ligne et certaines permettent même de consulter l'entièreté de certains ouvrages sur leur site. On y trouve aussi des bases de données concernant des aspects démographiques, de la littérature de science fiction, des équipes de football, des articles de sociologie... Il est aussi possible de consulter les dernières informations, de connaître la météo de n'importe quel pays.

Bref, le Web dessine un vaste espace communicationnel où dans un esprit de liberté totale chacun publie et dit ce qu'il a envie de publier ou de dire. Cette liberté de publication a cependant un revers puisqu'on peut y trouver aussi des sites révisionnistes, néo-nazis, des sites de pornographie, de pédophilie, des sites présentant des images de mort et d'extrême violence,... Car, tel est la nature de ce cyberespace, où la censure n'a pas court, afin de permettre à chacun de trouver et de publier ce qu'il cherche, afin d'éviter qu'un quelconque pouvoir ne vienne prendre le contrôle de cet espace et d'imposer son diktat idéologique ou moral. Mais le problème de la liberté, c'est de se heurter alors à des sites à contenus qui sont jugés inadmissibles pour certains et permettre à toutes sortes d'idéologies extrêmistes de trouver un terrain où elles peuvent exposer leur propagande.

Dès lors, des questions se posent : faut-il restreindre cette liberté en créant des instances de régulation des contenus afin d'éviter que certains ne soient choqués par ce que l'on peut y trouver ? Et en ce qui concerne les sites à contenu illégal, comme les interdire et qui doit être considéré comme le responsable de la publication, celui qui héberge le site ou celui qui produit le contenu ? Jusqu'ou peut-on aller dans la restriction de la liberté de publication d'informations pour protéger les bonnes consciences et pour combattre le contenu illicite et non légal des sites extrémistes ?

Certains acteurs de la société civile, nous les appellerons " les régulateurs ", relayé en cela par le pouvoir politique, veulent instaurer des instances de régulation des contenus des sites qui dépasseraient le cadre de lutte contre la criminalité mais qui pourrait posséder un pouvoir de censure sur le contenu de l'ensemble des sites. Ces acteurs qui, comme nous le verrons, basent leur jugement sur une idée préconçue d'Internet, remettent directement en cause la structure totalement libre du Web indépendant, et jouent ainsi indirectement le jeu du Web commercial.

Mais, une partie des internautes, ceux qui critiquent justement l'existence de ce Web commercial, dénoncent les stratégies des régulateurs qui menacent, selon eux, le principe de liberté de communication et de publication des informations. Ceux-ci vont s'organiser et devenir de véritables activistes de l'indépendance du Web par rapport à toute tentative de régulation et de censure. Ainsi, ils lancent des actions, créent des sites et des mouvements pour dénoncer les stratégies des régulateurs tout en montrant les dangers que cela représente pour le fonctionnement futur de la démocratie elle-même.

[b:c60d443b66]Source: [/b:c60d443b66][url]http://www.om-conseil.com/sections.php?op=viewarticle&artid=39[/url]

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Postby Manu404 » Thu Mar 27, 2008 1:47 am

Sa y est j'ai tout lus, et je suis d'accord.
Qui ne l'est pas d'ailleur...
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Postby Skorm » Thu Mar 27, 2008 3:28 am

+1 100% d'accord^^
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Postby hannibal » Thu Mar 27, 2008 6:03 pm

un peut long a lire...
mais je suis d'accord
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Postby HackAngel » Thu Mar 27, 2008 7:09 pm

[quote:5f874d16a6="hannibal"]un peut long a lire...[/quote:5f874d16a6]

Ben oui, c'est un forum, pas un chat... Et au-delà de ça, il y a beaucoup plus long dans cette section, crois-moi... Aucun résumé aussi bon soit-il ne rattrapera jamais la valeur culturelle du roman dont il est issu.

Pour revenir au texte, je le trouve emprunt d'une objectivité qui est toute à l'honneur de son auteur. Il tente la compréhension par delà le jugement, l'explication au lieu de la condamnation.

Si de tels auteurs étaient plus nombreux, peut-être serait il moins nécessaire de vivre caché pour vivre heureux.

Et le terme de "Hacker" serait il moins sujet à controverse...

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Postby Manu404 » Fri Mar 28, 2008 4:27 pm

[quote:18269fc19e]Ben oui, c'est un forum, pas un chat... Et au-delà de ça, il y a beaucoup plus long dans cette section, crois-moi... Aucun résumé aussi bon soit-il ne rattrapera jamais la valeur culturelle du roman dont il est issu. [/quote:18269fc19e]
Tout a fait d'accord, de plus cela évite souvent pas mal de mal entendu...
[quote:18269fc19e]
Et le terme de "Hacker" serait il moins sujet à controverse... [/quote:18269fc19e]
Oui mais la questions que se poseraient alors la pluspart des gens seraient non plus de savoir si tu est un pirates ou no, mais si t'es un hackers ou un pirates, et cela ne changerais je pense rien a la situation d'un manière plus générale.
Certaines personnes feraient la différence mais beaucoup refuseraient a mon avis de la faire, ne pouvant imaginer que hacking n'est pas forcement violation de vie privé ,destruction etc
On aurais dû avoir cette démarche bien plus tot, lors du lencement grand public d'internet par exemple...
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Postby HUG0X » Fri Feb 27, 2009 12:04 pm

Excellent, tout a fait d'accord, quand je passe l'adresse de votre site a mes amis qui adorent l'informatique, ils me disent, ouah ça déchire, c'est pour hacker, cracker..
Je les raisonne tant bien que mal..

Tout a fait d'accord en tout cas, pressé de pouvoir faire parti de cette communauté!

PS: Une petite question newbesque ? Les apostrophes s'affichent avec un"?" dans un losange, suivit de plusieurs "??", comme un code utf-8, le probleme, c'est qu'un utf-8, ce sont d'autres symboles comme les accents qui sont déformés et apparaissent sous forme de code.
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Postby HackAngel » Fri Feb 27, 2009 8:35 pm

Oui, je retoucherai le texte dès que possible. Je l'ai déjà fait pour plusieurs, mais le temps est une denrée rare...

Merci d'avoir remonté ce topic et d'avoir ainsi attiré mon attention dessus.

Pour la Liberté...

HackAngel

[Edit: Chose promise chose due, sujet édité et corrigé.]
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Postby GHOSTX_0 » Wed Aug 26, 2009 8:59 am

Merci HackAngel pour cet article très interessant!
Petite note:

[quote:1fcb7eb730]L'entraide volontaire signifie que les hackers ne travaillent jamais seuls à la résolution d'un problème. Les hackers partagent toujours leurs informations, ils considèrent que l'évolution des choses ne peut que se baser sur une logique d'échanges et ce qui compte pour eux avant tout, c'est le progrès de la technologie et tout particulièrement de l'informatique. [/quote:1fcb7eb730]

Cette entraide volontaire est présente dans la science en général.
Comme on dit "rien ne sert de réinventer la roue"!! Ainsi toute science (donc l'informatique), réutilise les théories passées (vérifiés) pour construire de nouvelles théories permettant de faire avancer la recherche.

[quote:1fcb7eb730]Toutefois, il ne faut pas confondre ces hackers avec un certain nombre de pirates informatiques qui se considèrent eux-aussi comme les héritiers de la culture du MIT. D'ailleurs, les premiers se sont insurgé plus d'une fois contre l'utilisation abusive du terme "hacker" pour désigner un pirate informatique. Pour eux, ces pirates sont en fait des crackers. E. S. Raymond, un hacker qui a écrit une série d'essais autour de cette culture et de la notion de logiciel libre, a écrit dans un document publié sur Internet "Comment devenir un hacker ?" : "La différence fondamentale est la suivante : les hackers construisent des choses, les crackers cassent les choses".. [/quote:1fcb7eb730]

Les pirates selon moi pensent que tout doit être gratuit et partagé or certaines personnes (la majorité des personnes en fait), développent des logiciels pour les vendre ensuite! Ils ont passé du temps et engagé de l'argent, et leur objectifs premier est de touché quelque chose en échange! Les pirates se fiche de cela et partage ces logiciels librement sur les réseaux p2p!

Cette mentalité est selon moi opposé à celle des hackers qui vont justement développer des logiciels afin de les mettre à la disposition de la communauté, et ceci est totalement différents!
Un exemple parmi tant d'autre est la suite bureautique Open Office qui s'oppose à Microsoft Office (elle payante)!

Il faudrait que les mentalités de la société change à l'égard des hackers!
N'importe qui peux être un pirate en revanche tout le monde ne peux pas être un hacker!

Cordialement

Ghostx_0
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Postby S » Wed Aug 26, 2009 6:23 pm

Très bon texte qui va mettre le point sur les i comme on dit.
Sa va éviter pas mal de confusion.
S
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